La libération
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La libération
Un autre jours, un autre merdier...
Magalie ouvrit les yeux lentement, réveillé par des bruits métalliques et des voix qui criaient de tout les cotés.
En sortant la tête de son carton elle vit que le campement était en pleine effervescence, les hommes couraient de partout, ramassant leurs affaires pour les ranger dans des cadis.
"Ah, voila la cendrillon qui se réveille !" Aussitôt la jeune fille se retrouva au dessus du sol, soulevé par le col de ses haillons avant d'être projetée un peu plus loin, atterrissant sans douceur dans un nuage de poussière.
"Allez la mioche, au boulot, t'as bien assez dormit comme ça, tu vois pas qu'on déménage!" rugit le colosse à qui elle devait son vol-plané matinale
Magalie ravala ses larmes, elle savait bien que si elle pleurait elle prendrait encore des coups, tout ce qu'elle devait faire c'est subir, subir en silence et obéir.
Elle se releva rapidement rangea tout ce qu'elle trouva, en faisant aussi vite que possible, mais bon, même en faisant du mieux qu'elle le pouvait elle recevait toujours quelques coups de pied au derrière histoire de l'activer un peu plus.
Pourquoi on déménageait ? Elle n'en savait rien et n'allait pas se risquer à demander quoi que ce soit a l'une des brutes du groupe, au moins elle prenait de coup, au mieux elle se portait.
"Si au moins ça pouvait être a causes de mutants aperçus dans les parages et qu'ils viennent capturer et manger tout ces sales vioks" , pensa la jeune fille
Oui, si au moins quelque chose, n'importe quoi, venait la tirer de ce merdier, Magalie serai la plus heureuse des mioches.
Elle savait que trop bien ce qui l'attendait dès que le camps serai remonté à quelques kilomètres de la, il allait falloir tout ranger et remettre en place, prendre quelques coups, ronger les os que les hommes voudraient bien lui laisser, si ils lui en laissent, et puis prendre encore des coups avant de servir de poupée pour satisfaire les besoins naturels de ses bourreaux.
Magalie détestait ça, elle avait résisté au début, mais elle finit vite par comprendre que résistance ou non les hommes parvenait à leur fin grâce à leur poings persuasifs, alors s'il fallait y passer, autant que ce soit avec le moins de coups possible
Pourtant ce jour la, les choses ne se passèrent pas exactement comme cela, une fois le campement remonté et les feux allumés, les brutes prirent leurs armes et retournèrent sur leurs traces pour "chasser ces putain de mutans".
Elle avait vu juste, il devait s'agir d'une bande d'Inouts et les hommes avaient décidé de les éliminer avant que eux, ne les prennent en chasse.
Le camps fut vide en quelque minutes, et il ne restait plus que Magalie et Nurt, le chien de garde du groupe, un colosse particulièrement brutal et répugnant.
La situation était inespéré, Magalie se mit a calculer un plan d'évasion dans sa tête lorsque la voix roque de son gardien la ramena a la réalité,
"Allez vient la cendrillon, on va profiter que les autres soient pas la pour rendre un peu de bon temps",
"Comme si la présence des autre le dérangeait d'habitude" songea Magalie qui commença à s'approcher de l'homme.
Mais un éclat brillant sur le sol fit germer une idée dans son esprit et elle s'assit sur le sol, s'appuyant sur ses coudes avec les mains dans le dos en regardant Nurt d'un air de défi.
Le rire gras de l'homme retentit
"Ah ah, alors comme ça mademoiselle veux jouer au rebelle pendant que les autres sont en chasse,..., soit, on va rapidement régler ce petit problème" ajouta t'il en marchant vers elle, faisant craquer ses doigts un sourire sadique aux lèvres
Une fois devant la petite il s'agenouilla, Magalie sentit son souffle puante et ne put s'empêcher de grimacer.
L'homme commença à rire mais au moment ou il effleura le menton de la jeune fille de ses doigts crasseux, celle ci se retourna en un éclaire, lui tailladant la gorge avec un tesson de bouteille bien tranchant.
L'homme essaya de crier mais il ne parvint qu'à émettre qu'un gargouillement grotesque tendis qu'un flot de sang giclait de sa gorge recouvrant l'arme et la main de la fillette qui était debout à présent, assistant à la scène avec un grand sourire de satisfaction.
Il n'y avait plus un instant à perdre, Magalie se saisit d'un petit sac a dos et le bourra de tout ce qu'elle trouva utile sur le moment puis, après un dernier coup d'oeil vers le cadavre de Nurt elle disparut dans l'ombre de la nuit pour ne plus jamais revenir
Magalie ouvrit les yeux lentement, réveillé par des bruits métalliques et des voix qui criaient de tout les cotés.
En sortant la tête de son carton elle vit que le campement était en pleine effervescence, les hommes couraient de partout, ramassant leurs affaires pour les ranger dans des cadis.
"Ah, voila la cendrillon qui se réveille !" Aussitôt la jeune fille se retrouva au dessus du sol, soulevé par le col de ses haillons avant d'être projetée un peu plus loin, atterrissant sans douceur dans un nuage de poussière.
"Allez la mioche, au boulot, t'as bien assez dormit comme ça, tu vois pas qu'on déménage!" rugit le colosse à qui elle devait son vol-plané matinale
Magalie ravala ses larmes, elle savait bien que si elle pleurait elle prendrait encore des coups, tout ce qu'elle devait faire c'est subir, subir en silence et obéir.
Elle se releva rapidement rangea tout ce qu'elle trouva, en faisant aussi vite que possible, mais bon, même en faisant du mieux qu'elle le pouvait elle recevait toujours quelques coups de pied au derrière histoire de l'activer un peu plus.
Pourquoi on déménageait ? Elle n'en savait rien et n'allait pas se risquer à demander quoi que ce soit a l'une des brutes du groupe, au moins elle prenait de coup, au mieux elle se portait.
"Si au moins ça pouvait être a causes de mutants aperçus dans les parages et qu'ils viennent capturer et manger tout ces sales vioks" , pensa la jeune fille
Oui, si au moins quelque chose, n'importe quoi, venait la tirer de ce merdier, Magalie serai la plus heureuse des mioches.
Elle savait que trop bien ce qui l'attendait dès que le camps serai remonté à quelques kilomètres de la, il allait falloir tout ranger et remettre en place, prendre quelques coups, ronger les os que les hommes voudraient bien lui laisser, si ils lui en laissent, et puis prendre encore des coups avant de servir de poupée pour satisfaire les besoins naturels de ses bourreaux.
Magalie détestait ça, elle avait résisté au début, mais elle finit vite par comprendre que résistance ou non les hommes parvenait à leur fin grâce à leur poings persuasifs, alors s'il fallait y passer, autant que ce soit avec le moins de coups possible
Pourtant ce jour la, les choses ne se passèrent pas exactement comme cela, une fois le campement remonté et les feux allumés, les brutes prirent leurs armes et retournèrent sur leurs traces pour "chasser ces putain de mutans".
Elle avait vu juste, il devait s'agir d'une bande d'Inouts et les hommes avaient décidé de les éliminer avant que eux, ne les prennent en chasse.
Le camps fut vide en quelque minutes, et il ne restait plus que Magalie et Nurt, le chien de garde du groupe, un colosse particulièrement brutal et répugnant.
La situation était inespéré, Magalie se mit a calculer un plan d'évasion dans sa tête lorsque la voix roque de son gardien la ramena a la réalité,
"Allez vient la cendrillon, on va profiter que les autres soient pas la pour rendre un peu de bon temps",
"Comme si la présence des autre le dérangeait d'habitude" songea Magalie qui commença à s'approcher de l'homme.
Mais un éclat brillant sur le sol fit germer une idée dans son esprit et elle s'assit sur le sol, s'appuyant sur ses coudes avec les mains dans le dos en regardant Nurt d'un air de défi.
Le rire gras de l'homme retentit
"Ah ah, alors comme ça mademoiselle veux jouer au rebelle pendant que les autres sont en chasse,..., soit, on va rapidement régler ce petit problème" ajouta t'il en marchant vers elle, faisant craquer ses doigts un sourire sadique aux lèvres
Une fois devant la petite il s'agenouilla, Magalie sentit son souffle puante et ne put s'empêcher de grimacer.
L'homme commença à rire mais au moment ou il effleura le menton de la jeune fille de ses doigts crasseux, celle ci se retourna en un éclaire, lui tailladant la gorge avec un tesson de bouteille bien tranchant.
L'homme essaya de crier mais il ne parvint qu'à émettre qu'un gargouillement grotesque tendis qu'un flot de sang giclait de sa gorge recouvrant l'arme et la main de la fillette qui était debout à présent, assistant à la scène avec un grand sourire de satisfaction.
Il n'y avait plus un instant à perdre, Magalie se saisit d'un petit sac a dos et le bourra de tout ce qu'elle trouva utile sur le moment puis, après un dernier coup d'oeil vers le cadavre de Nurt elle disparut dans l'ombre de la nuit pour ne plus jamais revenir
Magalie- Messages : 12
Date d'inscription : 30/08/2010
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